Il n'est pas ici question de jeu, bien que je pourrais m'étendre sur le sujet...
Mais comme la majorité de ceux qui ne lisent pas ceci mais utilisent un ordinateur doivent savoir qu'un ordinateur est à la base une machine qui utilise un langage binaire ( avec des 0 et des 1) et qui donc est une monstrueuse calculatrice, je me suis dit que ça pourrait être intéressant de leur montrer que même un ordinateur c'est con :
Donc vous allez par ici.
Parce que, quand même, ça vaut des points. Moi je ne présente pas à l'élection présidentielle (ou une quelconque élection) si elle est gérée par ordinateur...
Lundi 23 juillet 2007 à 23:34
Samedi 14 juillet 2007 à 21:03
Aujourd'hui, un autre évènement plus ou moins miraculeux s'est produit : j'ai envoyé Sa Majesté des Dragons (car la légende veut qu'il en soit le roi) Bahamut de FFVIII au tapis.
Jusque là, rien de surprenant. Pas mal de pouilleuxd ont dû le faire avant moi.
Oui, mais moi, en bon givré-timbré-crétin que je suis, j'ai décidé que ça serait nul de le pulvériser alors que monsieur est même pas à son level grandiose de puissance.
Pour les néophytes, Final Fantasy VIII valu beaucoup de haine à Squaresoft, car brisant un certain nombre de règles "basiques" dans les Final Fantasy. Avec notamment, la disparition des MP et l'auto-équilibrage des bestioles selon le niveau moyen de votre équipe.
Eh ben, ça comme qui dirait pique méchamment de se farcir un des boss les plus bourrins du jeu, au level 93. Il faut savoir que ce rascal possédait le moyen de mettre fin au round en une attaque (eh oui les enfants à haut level les boss ils s'en foutent de vos défenses), mais je ne l'ai pas laissé faire. J'ai failli avaler mon joypad en voyant que cette espèce de crétine d'Angel (la chienne de l'héroïne) n'avait RIEN fait de ce que j'avais prévu (car c'est un chien avec des supers pouvoirs, faut préciser) et qu'on avait frisé le désastre de très très près, mais finalement le ranger s'est imposé.
Le plus dur fut aussi les bébêtes avant le Bahamut proprement dit, à savoir les deux Griffons (dragons). Deux saloperies de ce genre level 100 ça arrache, ça pique, et ça fait Game Over si ça décide de faire une attaque multi-cibles. Mais j'ai réussi à coutourner la difficulté avec, je le reconnais, une technique peu loyale... Mais qui ne l'a pas fait une fois, parmi les joueurs, hein ?
Bref, tout ça pour dire que j'ai passé mon après-midi entière à casser du monstre et que maintenant que j'ai foutue une dérouillée au grand Dragon en personne, je me sens libéré. C'est le genre de combat qui fait que vous transpirez, vous priez à chaque attaque de la bestiole, et au final, lorsque vous mettez la dernière claque, vous prenant un grand bol d'air avant de continuer.
Si seulement Square Enix pouvait nous pondre des trucs mieux foutus que FF X-2 ou FF XII (qui est je le précise une repompe totale du XI, hein, mais ça personne ne le sait. Et quand je dis totale, c'est TOTALE), je suis sûr qu'on auraît moyen de bien s'amuser.
A l'occasion, je pondrai un article expliquant pourquoi FF VIII > FF X/FF X-2 et FF VI > FF VII. Mais plus tard, là le repos du guerrier m'enjoint à aller festoyer, c'est pas tous les jours qu'on met une dérouillée pareille avec tant de problèmes dans les pattes.
Jusque là, rien de surprenant. Pas mal de pouilleuxd ont dû le faire avant moi.
Oui, mais moi, en bon givré-timbré-crétin que je suis, j'ai décidé que ça serait nul de le pulvériser alors que monsieur est même pas à son level grandiose de puissance.
Pour les néophytes, Final Fantasy VIII valu beaucoup de haine à Squaresoft, car brisant un certain nombre de règles "basiques" dans les Final Fantasy. Avec notamment, la disparition des MP et l'auto-équilibrage des bestioles selon le niveau moyen de votre équipe.
Eh ben, ça comme qui dirait pique méchamment de se farcir un des boss les plus bourrins du jeu, au level 93. Il faut savoir que ce rascal possédait le moyen de mettre fin au round en une attaque (eh oui les enfants à haut level les boss ils s'en foutent de vos défenses), mais je ne l'ai pas laissé faire. J'ai failli avaler mon joypad en voyant que cette espèce de crétine d'Angel (la chienne de l'héroïne) n'avait RIEN fait de ce que j'avais prévu (car c'est un chien avec des supers pouvoirs, faut préciser) et qu'on avait frisé le désastre de très très près, mais finalement le ranger s'est imposé.
Le plus dur fut aussi les bébêtes avant le Bahamut proprement dit, à savoir les deux Griffons (dragons). Deux saloperies de ce genre level 100 ça arrache, ça pique, et ça fait Game Over si ça décide de faire une attaque multi-cibles. Mais j'ai réussi à coutourner la difficulté avec, je le reconnais, une technique peu loyale... Mais qui ne l'a pas fait une fois, parmi les joueurs, hein ?
Bref, tout ça pour dire que j'ai passé mon après-midi entière à casser du monstre et que maintenant que j'ai foutue une dérouillée au grand Dragon en personne, je me sens libéré. C'est le genre de combat qui fait que vous transpirez, vous priez à chaque attaque de la bestiole, et au final, lorsque vous mettez la dernière claque, vous prenant un grand bol d'air avant de continuer.
Si seulement Square Enix pouvait nous pondre des trucs mieux foutus que FF X-2 ou FF XII (qui est je le précise une repompe totale du XI, hein, mais ça personne ne le sait. Et quand je dis totale, c'est TOTALE), je suis sûr qu'on auraît moyen de bien s'amuser.
A l'occasion, je pondrai un article expliquant pourquoi FF VIII > FF X/FF X-2 et FF VI > FF VII. Mais plus tard, là le repos du guerrier m'enjoint à aller festoyer, c'est pas tous les jours qu'on met une dérouillée pareille avec tant de problèmes dans les pattes.
Vendredi 27 avril 2007 à 23:34
On se pose des questions, parfois.
Notamment.
Que peut-ils se dérouler dans le semblant de cerveau de la sombre masse de la pour le moins dérangeante populace.
Tokio Hotel.
Certes.
C'est pas la première fois.
Ce n'est (hélas) pas la dernière.
Mais là, ça va trop loin.
J'ai cru un instant que me jouait un vilain tour pour me pousser à la conversion, mais non.
Notamment.
Que peut-ils se dérouler dans le semblant de cerveau de la sombre masse de la pour le moins dérangeante populace.
Tokio Hotel.
Certes.
C'est pas la première fois.
Ce n'est (hélas) pas la dernière.
Mais là, ça va trop loin.
J'ai cru un instant que me jouait un vilain tour pour me pousser à la conversion, mais non.
C'EST REELLEMENT ARRIVE
J'avoue que j'ai été profondément choqué. Poussé par l'envie de cramer les responsables du massacre de ce top 10 avec un dragon portatif, j'ai visité la chose en question. Et me suis foutu des baffes pour être sûr que je ne rêvais pas. Hélas non.
TH c'est mal, bordel. Mettez vous ça dans le crâne, ou on vous lavera le cerveau avec.
TH c'est mal, bordel. Mettez vous ça dans le crâne, ou on vous lavera le cerveau avec.
Mercredi 4 avril 2007 à 2:32
On parle souvent des grands film d'Hollywood, des magnifiques réussites de Spielberg, de Burton, et autres.
On se cantonne à nos films européens, américains et parfois japonais.
Mais il y a aussi des films chinois.
Ce film est un polar, presque un film noir. Et, accessoirement, le meilleur film que j'ai jamais vu de toute ma (courte) vie.
Si je n'ai pas raccourci cette image, c'est parce que je veux que vous la voyez en grand.
C'est un GRAND film.
Acteurs Principaux
Tony Leung, Andy Lau, Eric Tsang, Anthony Wong, Kelly Chen, Sammi Cheng
Synopsis
C'est la guerre entre la police de Hong-Kong et les Triades. Une guerre qui dure déjà depuis un moment. Yan (Tony Leung) est un agent dans les triades, un homme de main du mafieux Sam (Eric Tsang). Il travaille en fait pour la police, sous les ordres direct du Superintendent Wong (Anthony Wong). De son côté, Ming (Andy Lau) est un policier exemplaire, et surtout la précieuse taupe de Sam.
A la suite d'une transaction de cocaïne ratée et d'une opération avortée, les deux parties se rendent compte qu'elles sont infiltrées. Commence alors une course contre le temps pour trouver qui est la taupe de l'autre. Mais les deux agents sont fatigués d'être des taupes...
Bande-annonce
En chinois sous-titré (le doublage français est HORRIBLE) et pas autre chose, ici. Ignorez les critiques et concentrez vous sur le film. Mettez en haute résolution si vous pouvez, ça vaut vraiment la peine.
Bien entendu, le titre est un jeu de mot sur "Internal Affairs". Le film permet de comprendre pourquoi. Les acteurs sont absolument titanesques, et leur jeu écrase n'importe quel groupe d'acteurs occidentaux.
En fait, ce film est le premier épisode d'une trilogie (la Saga Infernal Affairs), je n'ai malheureusement pas encore pu voir les deux autres épisodes, mais je vais les commander incessamment sous peu.
Il y a dans les critiques une référence à HEAT, de Michael Mann. Ce film est aussi un grand, grand polar, avec De Niro et Al Pacino, mais moins bien que Infernal Affairs, ça c'est sûr.
Le réalisateur américain Martin Scorcese à fait un remake occidental de ce film, qui s'avère être plus bas que la cheville de l'original. Le titre du remake est The Departed, et met en scène Matt Damon, Leonardo Di Caprio (qui joue très bien d'ailleurs), et Jack Nicholson.
Ce film est parmi les plus grand succès de tous les temps à Hong-Kong, ne serait-ce que pour le quatuor des acteurs principaux (Tony Leung, Andy Lau, Anthony Wong et Eric Tsang) qui sont très connus en Chine et qui ont chacun remporté un prix pour leur rôle, au moins une fois. A noter, l'apparition de Kelly Chen (chanteuse pop et actrice TRES célèbre en Chine et au Japon, qui est absolument magnifique d'ailleurs.) en tant que psychiatre du héros joué par Tony Leung.
Kelly Chen (Magnifique) Tony Leung
On se cantonne à nos films européens, américains et parfois japonais.
Mais il y a aussi des films chinois.
INFERNAL AFFAIRS
Ce film est un polar, presque un film noir. Et, accessoirement, le meilleur film que j'ai jamais vu de toute ma (courte) vie.
Si je n'ai pas raccourci cette image, c'est parce que je veux que vous la voyez en grand.
C'est un GRAND film.
Acteurs Principaux
Tony Leung, Andy Lau, Eric Tsang, Anthony Wong, Kelly Chen, Sammi Cheng
Synopsis
C'est la guerre entre la police de Hong-Kong et les Triades. Une guerre qui dure déjà depuis un moment. Yan (Tony Leung) est un agent dans les triades, un homme de main du mafieux Sam (Eric Tsang). Il travaille en fait pour la police, sous les ordres direct du Superintendent Wong (Anthony Wong). De son côté, Ming (Andy Lau) est un policier exemplaire, et surtout la précieuse taupe de Sam.
A la suite d'une transaction de cocaïne ratée et d'une opération avortée, les deux parties se rendent compte qu'elles sont infiltrées. Commence alors une course contre le temps pour trouver qui est la taupe de l'autre. Mais les deux agents sont fatigués d'être des taupes...
Bande-annonce
En chinois sous-titré (le doublage français est HORRIBLE) et pas autre chose, ici. Ignorez les critiques et concentrez vous sur le film. Mettez en haute résolution si vous pouvez, ça vaut vraiment la peine.
Bien entendu, le titre est un jeu de mot sur "Internal Affairs". Le film permet de comprendre pourquoi. Les acteurs sont absolument titanesques, et leur jeu écrase n'importe quel groupe d'acteurs occidentaux.
En fait, ce film est le premier épisode d'une trilogie (la Saga Infernal Affairs), je n'ai malheureusement pas encore pu voir les deux autres épisodes, mais je vais les commander incessamment sous peu.
Il y a dans les critiques une référence à HEAT, de Michael Mann. Ce film est aussi un grand, grand polar, avec De Niro et Al Pacino, mais moins bien que Infernal Affairs, ça c'est sûr.
Le réalisateur américain Martin Scorcese à fait un remake occidental de ce film, qui s'avère être plus bas que la cheville de l'original. Le titre du remake est The Departed, et met en scène Matt Damon, Leonardo Di Caprio (qui joue très bien d'ailleurs), et Jack Nicholson.
Ce film est parmi les plus grand succès de tous les temps à Hong-Kong, ne serait-ce que pour le quatuor des acteurs principaux (Tony Leung, Andy Lau, Anthony Wong et Eric Tsang) qui sont très connus en Chine et qui ont chacun remporté un prix pour leur rôle, au moins une fois. A noter, l'apparition de Kelly Chen (chanteuse pop et actrice TRES célèbre en Chine et au Japon, qui est absolument magnifique d'ailleurs.) en tant que psychiatre du héros joué par Tony Leung.
Kelly Chen (Magnifique) Tony Leung
Je vous SOMME de voir ce film. N'importe qui voulant prétendre avoir vu un des meilleurs films de la planète se DOIT d'avoir vu ce film.
Vendredi 16 février 2007 à 11:41
Un article relativement cours.
Juste pour dire qu'avec mon blog misérable et infréquenté, je suis sûr de ne pas tomber un beau matin sur ceciEt encore faudrait-il que quelqu'un ai mon mot de passe..
Il faut se méfier des complots ourdis par les terribles choses qui nous servent de passe temps provisoire (faute de mieux) et que nous essayons de nommer "amis". On ne sait jamais où ça nous mène.
En tout cas, tu t'es fait "hosed" profond mon vieux !
:D
Juste pour dire qu'avec mon blog misérable et infréquenté, je suis sûr de ne pas tomber un beau matin sur ceciEt encore faudrait-il que quelqu'un ai mon mot de passe..
Il faut se méfier des complots ourdis par les terribles choses qui nous servent de passe temps provisoire (faute de mieux) et que nous essayons de nommer "amis". On ne sait jamais où ça nous mène.
En tout cas, tu t'es fait "hosed" profond mon vieux !
:D