HAPPY NOOB YEAR
Les initiés comprendront.Lundi 1er janvier 2007 à 17:01
Juste pour dire (ça fait deux fois quand même, mais où je vais ? Hum... Le premier qui me répond un truc du genre "DTC" je... je... je m'en fous) :
Dimanche 24 décembre 2006 à 23:33
Nous allons faire un article à l'encontre de la plupart des lois de cow, mais que voulez vous, ça n'arrive qu'une fois par an les jours fériés les années bisextiles, alors lâchons nous (la deuxième personne n'est autre que mon double psychopathique, réincarné sous les traits de ma chère vache en peluche, laquelle trône royalement sur le lit ou plutôt de ce qui me sert de lit).
NOYEUX JOEL !
Noyez Joel !
Noyons Joel !
Blub blub !
Noyez Joel !
Noyons Joel !
Blub blub !
Ouais. Même aux lapins. Tsss.
Dimanche 3 décembre 2006 à 1:27
Je suis un incompris...
Mon pseudo sur la chan (car je suis presque sociable) étant Sky,
Jugez plutôt :
Snif
(Bubus et Toine me soutiennent dans cette dure épreuve)
Mon pseudo sur la chan (car je suis presque sociable) étant Sky,
Jugez plutôt :
Snif
(Bubus et Toine me soutiennent dans cette dure épreuve)
Jeudi 2 novembre 2006 à 0:14
23h44.
Il est 23h44.
Je suis en train de me dire que nous pourrions, pardon, JE pourrais ouvrir un immense débat solitaire sur la notion du temps, qui, si on y consacre ne serait que quelques dixièmes de bout de neurones, vaut son pesant de cachuètes en or du Chili importé d'Afrique Australe.
Mais là n'est pas le principal sujet de ce magnifique, pouilleux, sombre, éclairé, illuminé, chiant, passionnant (y'a une ribambelle d'épithètes à coller à cette joyeuseté) article. D'ailleurs, comme dans plus de 99% de mes pitoyables articles, il n'y a AUCUNE raison d'écrire un article. C'est vrai, la pensée est un moyen si simple de conserver des données de manières secrètes. Bon, à la limite, ces données là je m'en contrebranle qu'elles soient publiques. Et vous avez remarqué que je suis en train d'écrire un article depuis tout à l'heure au fil de la plume, en annonçant et contournant la chose, sans la marquer, et qu'à la fin de ce tout ce bordel, j'aurais probablement plus tergiversé sur la façon d'écrire et le reste du bordel ambiant que sur la principale raison inexistante de cet article.
Des fois où je me demande pourquoi moi j'ai un blog. C'est vrai, je déteste ça. D'ailleurs, s'il y a bien quelque chose que je déteste, c'est les blogs nanards où on s'affirme "Ouais j'suis un ReBelZ !". Mais je vois venir l'objection (merci à ta princeté, Pierres Desproges) : Il y a des blogs qui ne sont pas comme je viens de le décrire. Surtout sur CowBlog, parce que sans vouloir vexer qui que ce soit et viser qui que ce soit (je fais une généralité abstraite, profitez en), Cowblog est un nid à dépressifs. Truc impressionnant.
Dans la série des choses incroyables, imperméables, puissantes mais incompréhensibles, je pointe d'un index accusateur la Pensée humaine. Avec un grand P. Et faîtes pas chier pour ce P majuscule. Une création pareille mériterait d'avoir sa majuscule dans le dico et pas uniquement sur le petit blog invisité qu'est le mien. Pourquoi la Pensée humaine, me direz vous ? Eh ben tiens, faîtes y donc appel. Réfléchissez. Ca vous stimulera la matière grise et ça fera faire de l'électricité à vos petits neurones, manquants chez certains (là, c'était ciblé. Si vous vous êtes reconnus, mais... Mais non, je dis une connerie. Le QI des personnes ciblées ici n'est pas assez élevé pour comprendre la pique).
Bon, les gens (expression qui me ramène dans la banalité générale et absolue, et qui en fera grincer plus d'un), c'est pas tout ça, mais j'ai un paquet de choses à faire. La première d'entre toutes étant de finir cet article pour envoyer mon Soilwork plein pot. Avec un peu de chance je casserai une vitre. M'en fous du rafut, on est en vacances les voisins doivent pas être là. Et la matriarche est pas là. La Chose non plus. Non, il n'y a que ce brave et courageux Lapin qui me tienne compagnie. Enfin, le rapport est plutôt de Maître Tout Puissant (moi) à Objet Assujetti et Maltraité (le lapin), mais c'est toujours ça, non ?
Sur ces grandes questions qui feront griller plus d'un de vos neurones (en bon sadique je peux au moins l'espérer), je vais aller faire un boucan du diable et hurlant avec mon Winamp. Ouais, même que moi je gueule pendant les chansons de métal. Allez. Auf Wiedersehen !*
*dédicace à Pierre (Sé Facheu, tré facheu !), comique devant l'éternel qui m'a arraché un vrai fou rire, chose que je n'avais pas eu depuis si longtemps. Merci à toi, bien que la probabilité pour que tu lises cet article est si infime que je ne pense pas que ça arrivera.
Il est 23h44.
Je suis en train de me dire que nous pourrions, pardon, JE pourrais ouvrir un immense débat solitaire sur la notion du temps, qui, si on y consacre ne serait que quelques dixièmes de bout de neurones, vaut son pesant de cachuètes en or du Chili importé d'Afrique Australe.
Mais là n'est pas le principal sujet de ce magnifique, pouilleux, sombre, éclairé, illuminé, chiant, passionnant (y'a une ribambelle d'épithètes à coller à cette joyeuseté) article. D'ailleurs, comme dans plus de 99% de mes pitoyables articles, il n'y a AUCUNE raison d'écrire un article. C'est vrai, la pensée est un moyen si simple de conserver des données de manières secrètes. Bon, à la limite, ces données là je m'en contrebranle qu'elles soient publiques. Et vous avez remarqué que je suis en train d'écrire un article depuis tout à l'heure au fil de la plume, en annonçant et contournant la chose, sans la marquer, et qu'à la fin de ce tout ce bordel, j'aurais probablement plus tergiversé sur la façon d'écrire et le reste du bordel ambiant que sur la principale raison inexistante de cet article.
Des fois où je me demande pourquoi moi j'ai un blog. C'est vrai, je déteste ça. D'ailleurs, s'il y a bien quelque chose que je déteste, c'est les blogs nanards où on s'affirme "Ouais j'suis un ReBelZ !". Mais je vois venir l'objection (merci à ta princeté, Pierres Desproges) : Il y a des blogs qui ne sont pas comme je viens de le décrire. Surtout sur CowBlog, parce que sans vouloir vexer qui que ce soit et viser qui que ce soit (je fais une généralité abstraite, profitez en), Cowblog est un nid à dépressifs. Truc impressionnant.
Dans la série des choses incroyables, imperméables, puissantes mais incompréhensibles, je pointe d'un index accusateur la Pensée humaine. Avec un grand P. Et faîtes pas chier pour ce P majuscule. Une création pareille mériterait d'avoir sa majuscule dans le dico et pas uniquement sur le petit blog invisité qu'est le mien. Pourquoi la Pensée humaine, me direz vous ? Eh ben tiens, faîtes y donc appel. Réfléchissez. Ca vous stimulera la matière grise et ça fera faire de l'électricité à vos petits neurones, manquants chez certains (là, c'était ciblé. Si vous vous êtes reconnus, mais... Mais non, je dis une connerie. Le QI des personnes ciblées ici n'est pas assez élevé pour comprendre la pique).
Bon, les gens (expression qui me ramène dans la banalité générale et absolue, et qui en fera grincer plus d'un), c'est pas tout ça, mais j'ai un paquet de choses à faire. La première d'entre toutes étant de finir cet article pour envoyer mon Soilwork plein pot. Avec un peu de chance je casserai une vitre. M'en fous du rafut, on est en vacances les voisins doivent pas être là. Et la matriarche est pas là. La Chose non plus. Non, il n'y a que ce brave et courageux Lapin qui me tienne compagnie. Enfin, le rapport est plutôt de Maître Tout Puissant (moi) à Objet Assujetti et Maltraité (le lapin), mais c'est toujours ça, non ?
Sur ces grandes questions qui feront griller plus d'un de vos neurones (en bon sadique je peux au moins l'espérer), je vais aller faire un boucan du diable et hurlant avec mon Winamp. Ouais, même que moi je gueule pendant les chansons de métal. Allez. Auf Wiedersehen !*
*dédicace à Pierre (Sé Facheu, tré facheu !), comique devant l'éternel qui m'a arraché un vrai fou rire, chose que je n'avais pas eu depuis si longtemps. Merci à toi, bien que la probabilité pour que tu lises cet article est si infime que je ne pense pas que ça arrivera.
Samedi 30 septembre 2006 à 0:21
Quelques temps auparavant, j'avais écrit un article sur les profs. Cet article, bien que non completé, résume assez bien ce que l'on peut croiser au lycée. Mais c'est sans compter les élèves. Eh oui. Les élèves. Soit c'est des intellos soit c'est des imbéciles. Jamais de juste milieu. Mais intéressons nous à ce bordel intensif qui organise une résistance passive et plus que primaire durant les heures de cours...
Le Nerd : tiré de l'anglais, l'expression nerd est souvent très mal traduite en "blaireau". Non, un nerd c'est un élève qui ne sait pas sh'abiller et qui se ramène toujours super bien sapé comme les adultes, qui portes des lunettes quadruple foyer, qui n'est pas mûr pour un sou mais dont le QI atteint des sommets. A ne pas confondre avec un fayot, car un nerd peut très bien haïr son prof.
Le/la Fashion Victime : créature probablement sortie d'un univers parallèle et très différent, le/la fashion victime suivra le cours de la morde à la lettre et se déguisera en fonction. J'emploie ici le verbe déguiser, tant certaines modes font peur à voir.
Je-rigole-pour-un-rien : cet être à part n'a besoin que d'un mot débile pour se marrer comme pas permis. Tellement qu'il se fera remarquer par le prof et en tombera peut être de sa chaise. Donc si vous lui dîtes "cac", il tombera par terre et s'étalera comme une merde. Approprié, non ?
Le-bavard-trompe-la-mort : Rien n'arrête ce moulin à paroles. Il est capable de débitter un flot de paroles à une vitesse stupéfiante, en faisant des commentaires plus ou moins dans le cadre du cours. Même si le prof l'engueule, le bavard trompe la mort repassera à l'assaut dans la seconde qui suit. Hargneux, ces bêtes là.
Le fayot : assis droit comme un I sur sa chaise, les lunettes toutes propres ajustées à la bonne hauteur pile poil, le faot n'attend que le prof. Il considère tous les autres membres de la classe comme des moins que rien qui ne savent pas apprécier les talents et qualités du prof, et même des profs en général. Le fayot lève toujours la main, et il est souvent délégué.
Le Sombre : le sombre est un type d'élève assez rare. Généralement, le sombre est d'une intelligence impressionante, et il ne parle jamais. Il ne lève jamais la main alors qu'il connaît très souvent la réponse. Il se cale toujours vers le fond, mais tout au fond car les profs aiment bien balayer du regard le fond de la classe. Il passe ses cours a faire tout sauf suivre, mais ne se gamelle pas aux interros pour autant. Le Sombre est souvent très mûr.
Le fou de musique : Celui là est prêt à tout pour obtenir sa musique en cours, et trouveras les astuces les plus tordues pour y parvenir. Et il y parviendra. Même s'il se fera choper.
L'animateur : l'animateur possède le sens de la répartie et ne se donne jamais la peine de lever la main. Ceci ne l'empêche pas de balancer des piques et des réponses à tout va. Généralement très apprécié, l'animateur peut être favorisé par certains profs et détesté par d''autre. Tout le monde trouve ses répliques très drôle et du coup tout le monde rigole dès qu'il ouvre la bouche. Ou presque.
EDIT : Je vais me faire mes pâtes, la suite une prochaine fois.
Le Nerd : tiré de l'anglais, l'expression nerd est souvent très mal traduite en "blaireau". Non, un nerd c'est un élève qui ne sait pas sh'abiller et qui se ramène toujours super bien sapé comme les adultes, qui portes des lunettes quadruple foyer, qui n'est pas mûr pour un sou mais dont le QI atteint des sommets. A ne pas confondre avec un fayot, car un nerd peut très bien haïr son prof.
Le/la Fashion Victime : créature probablement sortie d'un univers parallèle et très différent, le/la fashion victime suivra le cours de la morde à la lettre et se déguisera en fonction. J'emploie ici le verbe déguiser, tant certaines modes font peur à voir.
Je-rigole-pour-un-rien : cet être à part n'a besoin que d'un mot débile pour se marrer comme pas permis. Tellement qu'il se fera remarquer par le prof et en tombera peut être de sa chaise. Donc si vous lui dîtes "cac", il tombera par terre et s'étalera comme une merde. Approprié, non ?
Le-bavard-trompe-la-mort : Rien n'arrête ce moulin à paroles. Il est capable de débitter un flot de paroles à une vitesse stupéfiante, en faisant des commentaires plus ou moins dans le cadre du cours. Même si le prof l'engueule, le bavard trompe la mort repassera à l'assaut dans la seconde qui suit. Hargneux, ces bêtes là.
Le fayot : assis droit comme un I sur sa chaise, les lunettes toutes propres ajustées à la bonne hauteur pile poil, le faot n'attend que le prof. Il considère tous les autres membres de la classe comme des moins que rien qui ne savent pas apprécier les talents et qualités du prof, et même des profs en général. Le fayot lève toujours la main, et il est souvent délégué.
Le Sombre : le sombre est un type d'élève assez rare. Généralement, le sombre est d'une intelligence impressionante, et il ne parle jamais. Il ne lève jamais la main alors qu'il connaît très souvent la réponse. Il se cale toujours vers le fond, mais tout au fond car les profs aiment bien balayer du regard le fond de la classe. Il passe ses cours a faire tout sauf suivre, mais ne se gamelle pas aux interros pour autant. Le Sombre est souvent très mûr.
Le fou de musique : Celui là est prêt à tout pour obtenir sa musique en cours, et trouveras les astuces les plus tordues pour y parvenir. Et il y parviendra. Même s'il se fera choper.
L'animateur : l'animateur possède le sens de la répartie et ne se donne jamais la peine de lever la main. Ceci ne l'empêche pas de balancer des piques et des réponses à tout va. Généralement très apprécié, l'animateur peut être favorisé par certains profs et détesté par d''autre. Tout le monde trouve ses répliques très drôle et du coup tout le monde rigole dès qu'il ouvre la bouche. Ou presque.
EDIT : Je vais me faire mes pâtes, la suite une prochaine fois.