I guess that, technically

Je suppose que, techniquement, c'est lorsqu'on est dans ce genre d'état là qu'on va se coucher.
Fatigue ?
Non.
Plus que ça.
Même pas de l'épuisement.

C'est également dans cet état là qu'on peut écrire des lignes des lignes et des lignes et encore des lignes, bien qu'elle n'ont généralement pas le moindre sens pour ceux qui les lisent.
Un état qui a ses charmes mais qui reste tout de même relativement dangereux - on ne sait pas vraiment ce qu'on écrit.

Rien de bien dangereux pour l'instant je pense.
Vu ma connexion qui fait encore des bonds digne d'un kangourou doté de gênes de lapin, je crois que j'aurai le temps de relire au moins six fois cet article avant qu'aucun d'entre vous ne le puisse.
C'est pas une période glorieuse, reconnaissons le.
On arrengera ça plus tard.

Un mot d'avertissement au passage : suite à une incompatibilité entre la date de mon renouvellement Premium (classe comme nom, on a l'impression d'être vraiment suprême. Calculé me direz vous. Probablement) et le crédit de mon portable, la journée de demain sera potentiellement la cible d'une mise à jour trop brutale de ce blog qui pourrez se transformer en remise à zéro de mon code CSS et HTML, donc ne prenez pas peur si vous voyez le joli design disparu, j'ai prévu le coup (au moins 4 sauvegarde de chaque code, soyons prudent). Tout ceci devrait être rentré dans l'ordre demain soir, je pense aux alentours de 20h.

Bon c'est psa tout ça, mais ce kangourou enfievré qui me tient la connexion commence à me taper sur le système, et je sens que ça va être vraiment acrobatique pour poster cet article.

Ca met du fun me direz vous. Pas faux.
La vie serait terriblement fade sans un soupçon d'angoisse.

Je viens de faire une tentative qui se solde par un échec non pas cuisant mais quelque peu embêtant. Je crois que je vais lui apprendre l'effet boomerang à ce kangourou.
Bon, il a l'air d'avoir compris.

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