Samedi 4 novembre 2006 à 14:49

Un autre article, tout se succède décidement.
Je ne connais même pas encore le sujet principal de cet article "inutile", comme l'a fait remarqué Bubus. C'est vrai que cet épithète colle merveilleusement bien au type d'article que je ponds grâce à mes doigts et à mon clavier (qui est, pour l'instant, en train de jouer avec sa "vie" vu la résistance stupide qu'il m'oppose, ça va mal tourner, les touches vont voler) depuis quelques jours. De toute façon, un article est à mon avis d'une inutilité flagrante. C'est bien beau tout ça, mais pourquoi j'en écris alors ? Je me demande encore figurez vous. Mais avant de trouver un semblant de réponse à cette insolite question, je crois que je vais essayer de trouver des réponses à des questions, qui, si elles ne sont pas aussi insolites sont milles fois plus importantes à mes yeux. Histoire de faire chier le monde, je vais retourner sur mon histoire de Temps qui passe.
Expression qui elle même mérite qu'on lui accorde un moment. Le Temps qui passe. Ceci signifierait que nous sommes capable de voir le Temps, puisque l'on sait qu'il vient et va. la notion même du Temps est diablement intéressante. Ca nous permet de programmer nos actions. Je ne sais pas si ça à vraiment sa place ici, mais pour ceux qui connaissent un bout le PHP, toute cette histoire me rappelle le timestamp. Un nombre qui grandit de seconde en seconde, à partir d'un certain moment donné (le  certain moment donné en question étant le 1er Janvier 1970, la minute de culture est finie, rangez vos cartables et foutez le camp) et qui, part une ou plusieurs opérations dessus, permet de retrouver le temps qu'il était, le temps actuel, ou bien encore le temps qu'il sera. Magnifique, non ? Mais voilà, d'où nous vient cette notion du temps ? Pourquoi est-ce que Mardi n'est pas Jeudi ? Pourquoi une seconde est plus courte qu'une heure ? Une armada (pas invincible, j'espère) de questions à se poser. Si quelqu'un accepte de torturer ses petits neurones avec moi, c'est pas de refus. Non seulement nous percevons le temps, mais nous percevons aussi sa densité. Sa densité ? Vous comprenez pas ce que je veux dire par là ? J'image : un instant de bonheur passera extraodinairement plus vite qu'un instant de malheur. Durant l'un, on a l'impression que le temps se fait plus fin, se rétrécit, pour passer encore plus vite. Il tente de raccourcir la joie de cet instant, comme s'il sentait le bonheur qui émane de nous à cet instant, et que dans un accès de rage sadique, il se jurait de le stopper le plus vite possible. A contrario, lors d'un moment un brin désagréable, le Temps, subitement pris d'une pulsion sadique dont l'assouvissement doit être immédiat, augmente sa densité, freinant son inéxorable avancement.
Voilà, un beau petit article avec une détestable première personne (détestable ET détestée), que je ne peux m'empêcher de conclure par cette phrase d'une philosophie incroyable :
Le Lapin est une race démoniaque, c'est le sous-fifre du mal.





Youpi.

Par pistache le Samedi 4 novembre 2006 à 21:01
NOUNOURS NOUNOURS NOUNOURS NOUNOURS NOUNOURS
Et une corde pour me pendre !
 

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