Mercredi 31 janvier 2007 à 23:44

I am sidéré.
Ich bin sidéré.
Je suis sidéré.



Par quoi me demanderez vous ?






(Avez vous réfléchi au fait que je pourrais ne pas vous le dire ? Non mais sérieusement ? Hein ? Ca ferait bien dans l'esprit du blog ça. Du mien en tout cas. Et si vous avez un minimum de matière grise, vous vous rendriez compte que depuis tout à l'heure je ne fais que vous embobiner, et je pourrai continuer comme ça sur des lignes et des lignes et vous continuriez à lire ces conneries stupidement débiles sans vous arrêter, tas d'abrutis soumis et lobotomisés qui ne lisez PAS ce blog. Putain ça en fait de l'écriture)


Par le niveau de connerie mondiale, auquel, avant que le pouilleux de service trainant sur son PC essaye de lire ceci et d'y apporter un vulgaire et quelconque commentaire, je contribue largement (ainsi je ne laisse à personne le soin de mettre ceci en commentaire. Toutefois, je sais que quelques personnes qui se reconnaîtront, y auront pensés immédiatement et je ne les en blâme pas. Pas totalement du moins. Encore que... Ca peut continuer longtemps. Hein). Mais cette fois je parle du niveau de stupidité, et surtout de l'inculture générale que nos chers abrutis et sous-compagnons de classe ont reçu par La Poste(TM) le jour de leur naissance dans un paquet cadeau bien ficelé, mais manifestement pas assez bien.


Sonnons la charge (Attaquons, stupides animaux qui ne lisez pas ceci) par un point des plus intéressants : la capacité à être débile en toute occasion.
Exemple :
Vous êtes un abruti (la preuve de ce fait est que vous lisez ce que j'écris) et vous vous payez une porte de plein fouet, faisant entendre un bruit des plus intéressant au niveau de votre orifice nasal. Là dessus, votre sous-compagnon va vous lancer un retentissant : "Ca va ?"
Question, remarquons le, débile, automatique, et surtout d'une connerie dont l'auteur n'a pas l'air de se rendre compte.
Autre exemple :
On vous rend votre contrôle, et là, suprême distinction d'honneur de tout abruti assez stupidement qualifié pour lire ceci (la vache -MEUH-, depuis le début de cet article j'arrête pas de vous détruire périodiquement. Vous voulez que je vous donne la définition physique de la période ? Non ? J'allais pas le faire. Sisi, je vous le jure), et donc (Osez me dire que vous vous rappellez de quoi je parlais précédemment en détail et je vous scalpe avec un couteau à beurre), vous avez eu la moyenne. Et là, le trou du cul social composant ce que la science définit par Camaradus Classus, va sortir d'une voix traînante, avec la mâchoire qui tombe jusqu'à la couche de Moho : "Oh putain, t'as eu la moyenne !".
Généralement, c'est là qu'on regarde cet imbécile, et qu'on dit "Ouais, je sais."
A noter que cela s'accompagne d'une blazitude sans égal. Et messieurs les génies de l'orthographe qui ne pouvez pas passer votre temps à me coincer sur toutes les conneries et erreurs que je fais car vous avez un semblant de vie à côté, blazitude : un ou deux 'z' ?
Le premier à répondre gagne un fromage à la senteur fraise et à l'arôme concombre, 100% naturel et nullement manipulé génétiquement.




Sur ce, je vais aller emmerder Morphée avec des problèmes d'ordre socio-économiques et vous laisser en paix, tas de choses qui ne lisez pas ceci.

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