Cool.
Mais comme disait mon ami le pingouin aérophage : "Ca reste à des lieues de Wordpress", dont c'est d'ailleurs abusément plagié.
Alors pourquoi reviens-tu sur ce truc tout pourri que tu dénigres à tout va ? me direz vous (ou pas, à mon avis mon jetterez juste des pierres en me disant de me casser).
C'est fort simple : j'ai la putain de méga-flemme. Tellement la flemme que je suis fatigué d'avoir la flemme, vous voyez. Donc je vais pas me casser le cul avec Wordpress pour l'instant. Mais comme nous savons tous qu'il peut pleuvoir des baleines sélénites d'une seconde à l'autre, je peux aussi retourner ce bidule que j'ai essayé de monter avec un morceau de scotch, une bougie et deux écureuils (qui avaient la rage, en plus).
Pour ceux qui pointent leurs yeux vers moi avec l'air de demander "Dis, dis, tu as écrit ?" la réponse est oui et non, j'ai écrit et pas écrit, j'ai trouvé la suite de Co-Work mais toujours pas couchée sur le papier et ça ne dépend que de l'huître thermonucléaire qui oublie systématiquement de me le rappeller. Sinon j'ai écrit des trucs funs à côté, mais rien de fini et de toute façon mon cerveau étant plus proche d'une orgie de paramécies crevées que d'un quelconque amalgame de neurones plus ou moins efficaces, vous seriez déçus.
En ce moment je suis purement improductif dans toutes les applications possibles de la chose, et donc je ne serais pas étonné de finir seul sur ce territoire laissé à l'abandon. Mais si ce blog doit être lu par des lamentins australs plus que par des humains, ainsi soit-il.
C'est pas tout ça, mais j'ai rien à faire, donc je me casse.