Enfermé parmi ses pensées les plus noires
Le tyran attends que le verdict tombe
Ne cachant son appréhension à l'idée d'avoir
Une place parmis les siens, Rois des catacombes.
Car la forteresse de tes prétendus sentiments
Est le siège de tant d'infâmes boniments.
L'assaut final, implacable, est sur le point de prendre place
Pour que plus jamais, de la vie le Roi ne se lasse.
Car le bastion qu'est ton âme
Cède devant le cercueil en orme
Venu chercher son dernier drame
Pour qu'à jamais le Roi dorme.
Le monarque git ici, vaincu,
Que l'on plante dans sa dépouille mutilée
Le drapeau déchiré et ensanglanté
Désormais, le Roi n'est plus.
Les citoyens sont libre... ?